Chapitre 3

Nous descendîmes de la voiture quelques kilomètres plus loin et partîmes à pieds. Je me demandais comment pouvait-être ce camps de sang mêlés. Soudain, j'entendis un bruit dans la fôret qui bordait la route. Grover me demanda d'accélérer. J'hésitais. Avec ses bequilles, il ne pourrait pas tenir le rythme, j'en étais conscient. Finalement, il s'arrêta. 

- Qu'est-ce que ça m'embête... , marmonna-t-il. 

Il défit sous mes yeux effrayés le bouton et la braguette de son jean. 

- Euh, Grover, commençais-je, tu sais que c'est pas le moment de s'arrêter se soulager ? 

Il me fusilla du regard. 

- Je fais mon boulot, mec! 

Il retira son pantalon et je restais bouche bée. Ses jambes étaient couverte de longs poils bruns. 

- Grover, tu as des jambes de chèvre? 

Mon ami leva les yeux au ciel. Je lui tendis ses béquilles. Il m'annonça que ce n'était que pure décoration. Je décidais de les prendre quand même, on ne savait jamais, si il changeait d'avis... 

J'étais étonné de découvrir encore de nouvelle facette (et pas des moindres! ) de mon ami. En deux ans, il n'avait pas cru bon de me révéler qu'il était... un hybride entre une chèvre et un gars! J'avoue que ce n'est pas la chose la plus facile à glisser dans une banale conversation mais quand son meilleur pote passe son temps libre (ou pas) a tuer des monstres, je trouve que ce n'est pas si compliqué.

Le bruit se rapprochait inexorablement, nous avions beau accélérer jusqu'à courir, la chose nous talonnait et gagnait rapidement du terrain. Brusquement, elle surgit devant nous. C'était une sorte de démon ailé. Je pilais net. 

- C'est un stryge, me cria Grover. Evite ses serres! 

Je baissais les yeux et vit les serres acérés dont me parler mon ami. Je n'avais aucunement envie terminer en pâté pour stryge! Sans hésiter, je saisis mon épée et la brandit devant moi. Je me battis avec acharnement. L'énorme monstre était drôlement agile pour sa taille. J'évitais de justesse ses serres et atterris à plusieurs reprise à plat ventre sur le sol. Il nous fallait des renfort, et vite! Juste au moment où cette pensée me traversait l'esprit, quelqu'un arriva à mon secours. Cette personne chevauché un cheval ailé et tenait à bout de bras un arc. Il arrivait comme un dieu  sur son fière destrier. Un éclair me rappela à l'ordre. Comparer un demi-dieux à un dieux était une erreur à éviter... 

Je repris rapidemment le combat et à nous deux nous vînmes à bout de cette coriace bête. Il me fallait remercier mon partenaire pour son audace. Lorsque la personne retira son casque je compris qu'il était... elle! Eh oui, le fièr guerrier était en fait, une incroyable guerrière. Elle m'adressa un grand sourire. 

- Tanaïs, enchantée, dit-elle en me tendant la main. 

Je la saisis et me présentais. Elle décida de nous escorter jusque la colonnie. Nous acceptâmes de bon coeur. Je remarquais rapidement que Tanaïs n'avait pas la langue dans sa poche et décidais d'en tirer profit. 

- Alors, cette guerre, demandais-je de façon à lui faire croire que j'étais déjà au courant. 

Grover tenta de lui dire de se taire, je lui fis donc un croche-patte et il s'étale par terre. Tanaïs, elle, n'avait rien remarqué et répondit insouciamment à ma question. 

- Les troupes de Cronos avancent. Ils recrutent toujours de nouveaux sang-mêlés. Mais les dieux sont forts, ils ne le laisseront pas prendre le pouvoir. 

- Cronos n'est plus au fond du tartar, m'écriais-je scandalisée. 

La jeune fille secoua la tête. Les dieux étaient en guerre contre Cronos... Je commençait à comprendre. Tanaïs sortit un papier qui débordait de ma poche. Je voulus le lui reprendre. Comment diable était-il arrivé là? Elle esquiva et le lut à voix haute. 

- Si tu as besoin de moi, n'hesite pas. Annabeth. 

La petite brune explosa de rage. Elle insulta Annabeth de tous les noms d'oiseaux qu'elle connaissait. 

- Jure moi que tu n'auras jamais recourt à cette traitresse, hurla-t-elle. 

J'étais étonné. La blondinette que j'avais rencontré avait l'air vraiment sympathique! 

- Elle ose essayer de te drésser contre ta famille! Elle...

- Qu'a-t-elle fait de si ignoble, la coupais-je. 

- Elle a rejoint Cronos! 

ça ne m'étonnait pas. Si elle n'était pas avec  la colonnie alors elle était contre elle. 

- Comme beaucoup non? 

- Peut-être mais elle, elle connaissait la prophétie dans tout les détails! A part Chiron, elle était la seule à la connaître! T'imagine même pas les ravages que ça peut faire... Le pouvoir attire tout le monde. 

- C'est faux, cria Grover, à deux pas derrière nous. Annabeth se fiche du pouvoir! 

Tanaïs fit volte-face brutalement. 

- Alors pourquoi est-elle partie, biquet? 

- Luke. 

Je demandais à plusieurs reprises qui était Luke. Personne ne me donna de réponse. Plus personne ne me parla jusqu'à ce que nous soyons à la colonnie. Luke.. Il devait être vachement important pour qu'Annabeth décide de trahir sa famille pour lui...

Voilà deux chapitres! 

J'espère sincèrement que ça vous a plu. N'oubliez pas de laisser des commentaires. Chaque remarque est la bienvenue. 

Chapitre 2

Maintenant que j'avais gagné, je devais suivre Grover. Mais avant ça, je décidais de passer chez moi. Ma mère, Sally, méritait de savoir ce qui se passait dans ma vie. Elle avait toujours été là pour moi. Elle m'avait toujours soutenu. Je me voyais mal partir sans rien lui dire. Je grimpais rapidement les escaliers memenant à mon appartement et gilssais la clef dans la serrure. La porte se dévérouilla et je pénétrais dans ma maison. Une odeur de biscuits régnait. Je gagnais la cuisine. Ma mère sortait une fournée de cookie bleu. Nous mangions tout en bleu. C'était une sorte de blague entre nous. Je pirs l'un des gâteaux et l'avalais en deux bouchées. Ma mère eut un grand sourire. 

- Je vois que tu aimes toujours autant mes cookies. 

Je lui souris la bouche pleine et elle me fit les gros yeux. J'avalais rapidement ce que j'avais dans la bouche. Sally offrit une patisserie à Grover. Il la remercia et s'installa dans le fauteuil du salon. Je le rejoins rapidement. 

- Je mérite des explications, non? 

Mon meilleur ami acquiesça. Il demanda à ma mère de nous rejoindre. Elle sortit la dernière plaque du four avant de s'asseoir à mes côtés. 

- Percy, tu es un demi-dieux et ta vie est en danger à chaque instant. 

- Je sais déjà tout ça! 

Ma mère me demanda de me taire et d'écouter.

- Le seul endroit où tu es en sécurité, c'est la colonnie des Sang-mêlés. Là-bas, tu apprends à te battre, à survire... C'est pour ça que tu dois y aller!

Il ne me disait pas tout. Je le savais.

- Et cette guere, le questionnais-je curieux.

- Fais-moi confiance, murmura-t-il. J'ai promis de ne pas t'en parler maintenant. Tu n'es pas prêt.

Je me levais et fis les cents pas. J'étais pas prêt? Qu'est-ce que ça pouvait bien signifier? Il y avait une guerre et je devais y prendre parti d'une quelconque façon, pourtant, on refusait de me donner toutes les informations.

- Pourquoi devrais-je te suivre? J'ai survécu toutes ces années aux attanques de monstres, je survivrais encore!  

- La prophétie..., commença-t-il avant de plaquer ses mains sur sa bouche. 

Je réagis au quart de tour. 

- La prophétie? Quelle porphétie? 

Grover secoua la tête et une sorte de bêlement s'échappa d'entre ses lèvres. Je le regardais, surpris. Il se reprit rapidement. 

- Ils t'ont trouvé. Il faut partir. 

Je lui posais toute sorte de question mais il ne répondit à aucune. Il se tourna vers ma mère.

- Percy doit partir maintenant. Vraiment maintenant, insista-t-il devant l'air hésitant de Sally.

Je n'en pouvais plus de me contenir. Il refusait de me donner des réponses mais voulais que je le suive docilement? Je n'étais pas d'accord! Je leur fit donc remarquer que je n'irais nulle part sans un minimum d'explications. Mon ami semblait drôlement ennuyé. Il allait dire quelque chose lorsque il huma l'air. Il fronça le nez.

- ça send pas bon, chuchota-t-il, pas bon du tout!

Ma mère dut comprendre le message caché car elle sortit un sac à dos d'un placard de la cuisine. Elle me le fourra dans les bras.

- Je savais que ça arriverait un jour, dit-elle avant de m'embrasser sur le front.

Soudain, on frappa à la porte.

- N'ouvrez pas, ordonna Grover.

Sally nous fit signe de passer par l'escalier de secours. Sans faire attention à eux, j'allais voir ce qu'il y avait derrière la porte. Rien. Brusquement, je me retrouvais expulsé à plusieurs mètres. J'attérris brutalement sur le sol de la cuisine. Mon compagnon m'aida à me relever. A la porte se trouvait maintenant un lestrygon. Grover jura en ce que je reconnus comme du grec ancien. Puis, il me tira vers l'escalier de secours. Ma mère passa devant. Je protestais. 

- C'est pas la première fois, qu'on est attaqué, m'exclamais-je. J'ai combattus des crétures bien pire!

- Peut-être mais cette fois, il y en a bien plus que tu ne le pense, objecta Grover.

Il n'arrêta pas de me tirer. Je baissais les yeux vers la rue. Elle était pleine de crétures mythologique qui n'était visiblement pas là pour prendre le thé. Je pestais. Je déteste quand d'autre que moi ont raison, même si ça arrive souvent. Tous le temps, en fait. 

Nous nous trouvions au milieu de l'escalier de secours. J'étais accroupi entre ma mère et Grover. 

- C'est quoi le plan? 

Je sursautais. Qu'est ce qu'elle faisait là? Elle était partie tout à l'heure non? 

- Annabeth, s'exclama Grover. Tu n'as rien à faire là ! Et ces monstres non plus! On avait un accord! 

Les yeux de la jeune fille lançaient des éclairs. 

- J'ai gagné, criais-je, je vais avec Grover! C'est ce qui était convenu! 

Avant de me rendre compte de ce qu'il se passait, elle se trouvait à califourchon sur moi et appuyait sa dague sur mon cou. Ses longs cheveux blonds caressaient mon visage. Ils embommaient ce que je reconnus comme de la fraise des bois. 

- Oserais-tu mettre ma parole en doute, Cervelle d'Algues? 

Dans cette position, je ne me sentais pas capable de la contredire. Son visage se rapprocha du mien. 

- Alors? 

Je secouais la tête. Elle se releva enfin. 

- Je vois que c'est toujours à moi d'avoir les idées, remarqua-t-elle. 

En moins d'une seconde, le plan était fait. Annabeth descendit faire diversion. Elle fit mine de se fâcher. 

- Que faîtes-vous encore là, bande d'incapables! Ils sont partis par là! 

Les lestrygons se regardèrent, indécis. L'un d'eux,  le plus courageux, s'avança vers la jeune fille. Il murmura qu'il sentait toujours mon odeur. La blondinette sortit son poignard et le planta dans la poitrine du monstre. Ce dernier disparut en une poussière dorée. 

- Quelqu'un d'autre souhaite faire un commentaire? 

Tous ce dirigèrent vers la ruelle indiquée. En un rien de temps, la rue fut complètement vide. Je dévalais les escaliers quatre à quatre. Ma mère se dépécha de mettre la voiture en marche. Annabeth lui conseilla de rester ici et de se cacher. Sally s'éxécuta et la fille se mit au volan. 

- Euh, t'as ton permis? 

- Bien sûr que non, triple idiot. J'ai quinze ans! 

Et sans me laisser le temps de répondre, elle démarra. On voyait bien qu'elle n'avait aucune expérience. Nous roulâmes pendant un long moment en silence. Je finis par poser mes questions. 

- Alors, cette guerre? 

La blonde spoupira. 

- J'essaie de me concentrer !

Je me tournais vers Grover. Il me rappela sa promesse. Je ne m'avouerais pas vaincu! J'embettais donc Anabeth jusqu'à ce qu'elle se décide à répondre à mes questions. Elle coupa le contact au milieu de la chaussée.

- Tu ne laisse jamais tomber l'affaire toi!

Je secouais la tête. Il me fallait des réponses.   

- Je ne suis pas la mieux placer pour te répondre, rétorqua-t-elle.

Elle sortit de la voiture et claqua la porte. Je fis de même.

- Où vas-tu?

- Vous n'avez plus besoin de moi!

Elle s'éloigna et je la regardais partir avant de laisser Grover me conduire à la colonnie.  

Chapitre 1

Avant toute chose, je voudrais préciser que Percy à 17 ans, Annabeth 16, Grover et Luke 19. 

PDV Percy 

J'étais assis au fond de la classe et regardais distraitement par la fenêtre. Un petit oiseau donnait des coup de bec. 

- Percy!

Je levai brusquement les yeux. Mon professeur se penchait sur moi. Toute la classe m'observait. Je jetais à mon meilleur ami un regard interrogatif. Que se passait-il? Il me chuchota que ça fesait quelques minutes qu'on me parlait. Quoi? Mais je n'avais rien entendu! J'allais encore avoir des ennuis...

La cloche sonna. Sauvé par le gonge! Je voulus quitter la pièce lorsque mon enseignante me demanda de rester. Je soupirai mais m'aprochais du bureau. Elle avait toujours eut une dent contre moi celle-là! Je me fis sermonner pour mon manque de concentration et promis de faire plus attention en classe. Enfin, je quittais le cours de maths. Je me dirigeais droit vers la cafétéria. Je me trouvais une place et avalais mon sandwitch. La cafet' était pleine à craquer. Je m'y sentais opressé et pris le parti de sortir prendre l'air. J'inspirais l'air frais et regardais l'horizon. Le ciel se couvrait rapidement. Grover, mon meilleur ami, claudiqua dans ma direction. Ses béquilles faisaient un petit bruit métallique sur les dalles. Je me retournais pour l'accueillir. Brusquement, je sentis une main se poser sur mon épaule. Par pur réflex de chasseur de monstre, j'éxecutai une clé de bras. Mon ennemie, surprise par ma réaction, se retrouva plaqué tout contre moi. 

- Qu'est-ce qui te prend, s'exclama la jeune fille. 

Je la lâchais et m'excusais. La blondinette fixa ses yeux gris orageux sur moi. 

- Je voulais qu'on discute, s'ecria-t-elle visiblement contrariée. 

Je lui demandais pardon une nouvelle fois. Elle pinça ses lèvres en une mimique qui la rendait vraiment craquante. Je ne pus m'empêcher de sourire. 

- Ne te moque pas de moi! 

Cela ne me fit que sourire d'avantage. Son petit air furibond était mignon. Trop concentré à regarder la jeune inconnue, je n'entendis pas Grover arriver. Il mis sa béquille devant moi de façon à créer une barrière entre la fille et moi.

- Laisse Percy tranquille.

Je posais une main appaisante sur son épaule.

- C'est pas un mostre, expliquai-je.

- Oh non. Ce n'est que des ennuis. Et pas des moindres...

La blondinette le fusilla du regard. 

- Attend, tu la connais? 

Mon meilleur ami hocha la tête mais ne me donna pas d'explications. Il m'ignora pour s'adresser à la jeune fille. 

- Va-t-en. 

- Percy a le droit de savoir qu'il a le choix, objecta-t-elle. Il n'est pas obligé de te suivre, toi. Il peut aspirer à mieux, beaucoup mieux. 

- Percy connait son devoir! Il sait ce qu'il doit faire! Il sait ce qu'il y a de mieux pour lui! Et le mieux: c'est la colonnie! 

J'étais complètement perdu. Je savais pertinemment que j'étais un demi-dieu et que mon odeur attirait les monstres de la mythologie grec, pourtant, je ne comprenais pas un mot de ce qu'ils avaient dit. Et tout les deux, ils continuaient à se disputer. Ils étaient certains de savoir ce qu'il y avait de mieux pour moi. Exaspéré, je les arrêtais. C'étais moi le premier concerné après tout! C'était à moi de savoir ce que je voulais! Je le leur fis remarquer. Blondie leva les yeux au ciel. 

- Très bien, capitula Grover. Que veux-tu? 

Je ne m'attendais pas à ce que se soit aussi simple. Je n'avais pas eu besoin d'insister! Et pas le temps de comprendre non plus... J'étais donc indécis. Je ne savais pas qui se battait con tre quoi ou même qui... Je restais donc, bras ballants, à comtempler mes deux choix. Suivre mon meilleur pote ou une parfaite inconnue... Il n'y avais pas de doute! Je devais avoir confiance en Grover! Sauf que depuis tout ce temps, il voulait m'emmener quelque part et n'avait pas cru bon de me prévenir... 

- T'as fait ton choix, s'agaça la blondinette en tapant impatiemment du pied. 

C'est pas en me pressant que t'auras un résultat ! Mon silence énerva d'autant plus la jeune fille. 

- Je propose que nous décidions ça grâce à un duel. Toi contre moi. Si tu gagnes, tu suis Grover, sinon, tu viens dans mon camp! 

Elle disait ça sur un ton totalement neutre. Comme si se battre était une banalité pour elle. Elle devait sans doute penser que je n'avais aucune expérience des combats. Cette blonde allait être surprise! Je combattais des monstres depuis que j'étais en sixième et n'avais jamais perdu. Je décapuchais mon stylo et il se transforma en une épée. Turbulence... Je me mis en position. La fille sortit un poignard de sa botte. Elle se plaça face à moi.

Ce fut elle qui attaqua la première. Je remarquais immédiatemment qu'elle était douée. Au bout de quelques minutes, elle m'avait déjà entaillé la cuisse, le flanc droit et les mains. D'ailleurs, je m'éssouflais rapidement. Elle, elle ne semblait en être qu'à l'échauffement. Je ne pourrais pas tenir le rythm beaucoup plus longtemps. Je grimaçais lorsqu'elle m'érafla une nouvelle fois. Soudain, il se mit à pleuvoir. Contrairement à ce qu'on aurait pu croire, les gouttes ne me gênaient pas. J'avais même l'impression qu'elle contenait de l'énergie pure. Mon souffle devenait de plus en plus régulier, ma fatigue s'envolait... Je commençais même à prendre le dessus sur mon adversaire. Je crus voir la peur dans ses yeux. Mais ça ne dura même pas un quart de seconde. Je décidais de tenter le tout pour le tout et tentais une botte que je ne métrisais que partiellement. Ce fut une totale réussite. Le poignard de mon ennemie s'envola pour attérrir quelques mètres plus loin en un petit bruit métalique. La pointe de ma lame se trouvait sous la gorge de la blonde. Cette dernière semblait sous le choc. Je souris. J'avais gagné! J'appuyais le bout de mon épée sur le cou de la jeune fille tombée par terre à mes pieds. Grover lui fit signe de partir. Elle allait se sauver lorsque je la retins par le bras.

- C'est quoi ton nom?

Je devais savoir qui elle était. C'était plus fort que moi.

- Annabeth.   

Je vous souhaite la bienvenue sur mon blog de fiction sur le monde de percy jackson. Cette fiction n'a pas de rapport avec les livres, je ne fais que m'approprier les personnoges de Rick Riordan. Cette fanfiction est ouverte à tout le monde: ceux qui ont lu ou/et vu les films et tous ceux qui y sont complêtement étrangers. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire que moi à écrire...