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Fiction Percabeth
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21 mars 2015

Désolée pour le retard... Le lycée me demande

Désolée pour le retard... Le lycée me demande beaucoup d'énergie... Mais voilà la suite... 

Chapitre 10

Je serrais les dents de rage. Quelle humiliation ! Je n'avais pas du tout vu ça venir ! Faire de moi sa prisonnière, et puis quoi encore... Je soupirais et tirais sur le cercle de fer qui ornait mon bras. Il me rentra plus profondemment dans la peau. Percy qui marchait à mes côtés grimaça. Puis, il me lança un regard mécontent. 

- J'avais pas le choix, OK, chuchota-t-il, énervé. 

A mon tour de lui lançer un regard noir. 

- On a toujours le choix, cervelle d'algues, dis-je sur le même ton. 

Je contournais un arbre par la gauche et soudain, fut tiré en arrière. Percy avait tenté de passer de l'autre côté. Je campais donc sur mes positions. Nous nous fîmes face de l'autre côté. Nos mains jointes par l'acier enlaçaient le tronc noueux de l'arbre. Je faisais face à un Percy qui commençait à perdre patience. Légèrement plus grand que moi, il me toisait d'un air furieux. Je soutenais son regard avec un air de défi. 

- Viens, me demanda-t-il en exerçant une légère pression sur mon bras. 

Je secouais la tête. 

- C'est toi la prisonnière, s'énerva-t-il. C'est mon chemin qu'on prend. 

J'haussais un sourcil, peu convaincue. Percy jeta un coup d'oeil anxieux sur le côté et c'est à ce moment là que je remarquais que Grover, Clarisse et Tanaïs nous attendaient. Je souris intérieurement. 

- Ecoute, Annabeth, chuchota le jeune fils de Poseïdon d'une voix pressante qui me fit rougir. Je n'ai pas eu le choix car si je t'avais laissé libre, tu aurais repris de l'avance et sans aucun doute trouvé la dague avant nous. 

- Sans aucun doute, approuvais-je. 

- Ne me fait pas passer pour un idiot, s'il-te-plait, fait ce que je te dis et...

Je tirais violemment sur les menottes et Percy tira instinctivement de l'autre côté. J'eus l'impression que mon poignet allait se décrocher mais refusais de céder. 

- N'use pas de la flatteris pour me faire céder, grognais-je en m'arc boutant alors que je perdais indéniablement du terrain. 

- Je n'essaie pas de t'ammadouer, je dis juste ce que je pense, répondit-il en un grognementalors qu'il tirait de toute ses forces. 

La douleur dans mon poignait irradiait dans mon bras entier. Le souffle court, je m'agrippais à l'arbre. 

- Arrêtez, hurla subitement Tanaïs. 

Aucun de nous ne lui prêta attention outre-mesure et le combat puéril continua. Finalement, il fut le plus fort et je tombais lourdement dans ses bras. Ma tête entra en contact avec le torse musclé de Percy et une odeur d'aigue marine m'emplit les narines. J'espirais profondemment et rougis. Mais qu'est-ce qui m'avais pris ? Les bras de Percy s'étaient instinctivement enroulés autour de moi. Je me dégageais brutalement. 

- Maintenant que vous avez fini, râla Clarisse. On peut peut-être penser à aller se coucher. 

Je suivis le petit groupe en me massant le poignet. L'acier avait laissé de douloureuses trasses rougies sur ma peau. Percy le remarqua immédiatement et me pris la main. Je levais vers lui un regard intérrogateur. 

- Pour pas que ces menottes ne te blesse encore, murmura-t-il en exerçant une légère pression sur mes doigts. 

La chaleur de ses mains se transmit doucement à mes doigts glacés et la température de nos corps s'harmonisèrent. Je sentis le rouge me monter aux joues. 

- Avoue que tu veux justes me tenir la main, répondis-je sur un ton espiègle pour cacher ma gêne. 

Cette remarque fit sourire le jeune garçon qui se pencha vers moi jusqu'à ce que je sente son haleine douce caresser mes lèvres. 

- J'avoue, il y a un peu de ça... 

Ses lèvres bougeaient si sensuellement que je ne pus m'arracher à leur contemplation. Mon coeur battait fort dans ma poitrine. Et ma respiration s'était accelérée...

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8 mars 2015

Coucou ;) ! Voilà la suite !! J'espère que ça

Coucou ;) ! Voilà la suite !! J'espère que ça vous plaire... Mais même si ce n'est pas le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire !! 

Chapitre 9

Piont de vue Annabeth

C'était une catastrophe. Un véritable fiasco! Il n'y avait rien d'autre à en dire ! Rien n'allait plus ! Pourtant, nous avions de l'avance et tout était bien parti. Métis avait été adorable et nous avait donné toutes les informations dont nous avions besoins. Mais l'attaque des empousas avaient tout gâché ! Et Drake avait été bléssé... 

Je le soutenais alors que le teint cireux, il se vidait de son sang et avec chaque goutte son energie disparaissait. Je ployais sous le poids du gros colausse roux. Nous rebroussions chemin laborieusement. La respiration haletante, je l'encourageais verbalement. 

- Faisons une pause, souffa-t-il d'une voix à peine audible. 

Je versais un peu d'eau sur son visage avant de boire de longue gorgée. J'en pris dans le creux de mes mains et m'aspergeais le visage en soupirant. Soudain, un arc en ciel appartu au-dessus du récipiant d'eau. Un message iris... Je regardais attentivement la surface se colorer doucement. Le visage familier de Luke apparut. 

- Annabeth, me salua-t-il. Ton rapport. 

Il s'adressa à moi d'un ton sec. Je pris sur moi pour ne pas laisser paraître mon affliction. 

- Rien ne va, me désolais-je. Je n'ai plus aucun contrôle sur le cours des choses. 

Je lui racontais alors l'horrible combait. Comment assaillit par le nombre, nous n'arrivions plus à faire face. Je lui narrais notre fuite éperdue, la perte de toutes nos affaires, la blessure de Drake... Mais je passais sous silence ma fatigue, ma peur et mon désespoir. 

- Ne te détourne pas de l'objectif, m'ordonna-t-il. Trouve cette dague et rentre ! 

- Drake ne survivra pas assez longtemps si on continue comme ça, protestais-je. 

- Qui t'as dit de contuinuer à emmener ce gars, dit-il en disparaissant de la surface de l'eau. 

J'en restais muette. Luke me demandait d'abandonner mon coéquipier... Je jettais un coup d'oeil vers ce dernier, agonisant au pied de l'arbre où je l'avais installé. Je me redressais pour regarder son visage crispé par la douleur. Je commençais alors à marcher pour reprendre mon avance. 

- Annabeth, prononça difficilement mon ami. Ne me laisse pas... J'ai peur...

Je m'immobilisais. Je sentis les larmes monter et serrais les points. Drake... Il m'avait sauvé d'une de ses empousas... Ma respirations s'accéléra brutalement. Je fis volte-face violemment et me précipitais vers le jeune garçon. Il me saisit le bras. 

- Je te demande juste de rester avec moi jusqu'à la fin, haleta-t-il. Je t'en prie... 

Je sentis une larme rouler sur ma joue. 

- Je suis désolée, chuchotais-je. 

Il s'agrippa férocement à moi. 

- Il faut que j'aille chercher de l'aide, murmurais-je en lui caressant la joue. Mais je te promets de revenir ! 

Je me dégageais de son étreinte et courus dans une direction au hasard. Mes pas finiraient bin par me mener quelque part... Quelque part où je pourrais trouver de l'aide. Je ralentis le pas lorsque je me retrouvais sur du gazon bien entretenu. Je jetais un coup d'oeil rapide aux alentours mais la nuit qui était tombée m'empêchait de bien distinguer l'environnement qui m'entourait. Je pus quand même identifier l'endroit où je me trouvais. Un terrain de golf...

        Je remarquais alors le local éclairé. Il y avait encore du monde à cette heure ? C'était inerspéré ! Je regardais la pancarte un peu plus loin. Sunset Golf Course... Cet endroit allait me sauver ! Je courus le plus vite posible jusque la porte d'entrée mais une sorte de bêlement me fit me stopper. Je me cachais instinctivement sous l'une des fenêtres. Des chèvres sur un terrain de golf ? La peur me tordit l'estomac. Si c'était des monstres.... Je ne pourrais pas faire le poids ! Je m'apprêtais à faire demi-tour lorsque le visage agonisant de mon ami s'imposa à moi. C'était peut-être sa seule chance... Monstre ou pas, je n'allais pas faire la poule mouillée ! Je jetais un coup d'oeil par dessus le châssis. Ce que je vis me laissa bouche bée. C'était eux... Et ce que j'entendais pas "eux", c'était Clarisse et Tanaïs ! Je jurais à voix basse. Il ne manquait plus que... Mais non, qu'elle idiote j'étais, pensais-je en me frappant le front du poing. Ils étaint la chance de Drake. Forcément qu'ils avaient de l'ambroisie ! Et je n'avais qu'à leur en subtiliser un peu discrètement... Je souris face à ces retrouvailles fortuites. Je me redressais doucement pour jeter un second coup d'oeil. Il n'y avait plus personnes dans le hall et les sacs étaient toujours là. C'était ma chance... Je me redressais et courus jusqu'à la porte. Je me précipitais ensuite vers les sacs et fouillais énergiquement à l'intérieur. Soudain, un cliquetis me fit sursauter. Je voulus me retourner mais je sentis une pointe glacée traverser mon tee-shirt pour piquer le creux de mon dos. 

- Que cherches-tu, voleuse, s'exclama une voix que je ne connaissais que trop bien. 

Clarisse... Je posais très lentement ma main sur mon poignard pour me préparer à le sortir. 

- Répond, me pressa-t-elle en appuyant plus profondémment sa lance dans mon dos.

Je grimaçais. Et au moment où elle s'apprêtait à insister encore, j'attaquais. Elle para facilement et un grand sourire apparut sur ses lèvres. 

- Très bien, Annabeth, chuchota-t-elle. Jouons. Mais jouons selon mes règles...

Son sourire perfide s'agrandit. 

- Tanaïs, viens, on va faire un combat double ! 

La jeune fille s'avança, épée à la main, prête à attaquer. 

- Ce n'est pas juste, protestais-je. Je suis seule, moi ! 

- Mais qui a dit que j'étais juste, rétorqua la fille du dieu de la guerre, sournoise. 

Les deux filles attaquèrent ensemble et je parais difficilement. Ma dague n'était pas faites pour se genre de combat déséquilibré. Tanaïs m'écorcha le bras. Je grimaçais mais repoussais mes attaquants. Nous nous tournâmes autour un moment avant qu'elles ne lancent une nouvelle attaque. Mon poignard senblait peser tellement lourd. La fatigue accumulée alliée à ce combat inégal ne me laissèrent aucune chance. Mon arme finit par rebondir piteusement sur le sol dallé. Les armes de mes adversaires étaient toujours pointés sur moi. Un sourire victorieux apparut sur les lèvres de Clarisse. Toujours sur le sol, j'attendais en me mordant anxieusement la lèvre inférieure. Qu'allaient-elle faire de moi, telle était la question. 

- Sais-tu ce qu'on fait aux voleurs, Annabeth, demanda Clarisse en consultant Tanaïs du regard. 

Je déglutis difficilement. 

- On leur coupe la main, répondit Tanaïs en me regardant. 

Elles m'intimèrent de me lever. Je m'exécutais, le souffle court. Etaient-elles sérieuses ? Je n'osais croire que ce n'était pas le cas. Je cachais mes mains tremblantes derrière mon dos pour leur cacher ma peur. Clarisse passa derrière moi et posa mon propre poignard sur ma gorge. Elle m'ordonna alors d'avancer. Puis elle me força à me mettre à genoux devant Tanaïs qui avait toujours son épée en main. Je levais les yeux vers cette dernière qui me contemplait avec un air d'effroi. 

- Pose ta main à plat sur le sol, exigea clarisse en chuchotant ces quelques mots à mon oreilles. 

Je tentais de me débattre et la lame de mon poignard pénétra la chair de mon cou. Le sang coula lentement, tâchant mon tee-shirt à rayures vertes. 

- Encore un mouvement, et je n'hésiterais pas, Voleuse, me menaça ma tortionnaire.

Clarisse me força alors à poser ma main sur le sol. Je serrais les poings. Je ne savais plus que faire pour me sortir de ce mauvais pas. Je fis donc la dernière chose que ma fierté ne supportais pas que je fasse. Mais je n'avais plus le choix...

- S'il-te-plait, Tanaïs, l'implorais-je. Ne fais pas ça... Réfléchis à ce que tu verras dans la glace si tu le fais... Tu...Aaah!! 

La lame venait d'entrer plus profondemment dans mon cou. 

- Tais-toi ! 

Je grimaçais mais me forçais à l'immobolité totale. 

- Fait ce que tu as à faire, Boute-en-train, s'écria Clarisse en fixant Tanaïs. 

La jeune fille regarda ma main que Clarisse maintenait toujours sur le sol froid. Un frisson la parcourut mais elle leva son épée. Effrayée, je fermais les yeux et tournais la tête, les dents serrés. Un bruit sourd me fit sursauter. J'ouvris craintivement les yeux et vis deux épées croisées au-dessus de moi. Je baissais les yeux sur ma main intacte. 

- Lâche-là, Clarisse, ordonna une voix masculine. 

Je levais les yeux sur mon sauveur alors que Clarisse obeissait. Ses yeux vert d'eau me contemplaient avec une infinie douceur. J'en rougis. Percy... Il me tendit la main. Je la regardais sans bouger. 

- Laisse-moi t'aider, murmura-t-il en s'accroupissant afin de se retrouver à ma hauteur. 

Je me relevais. Il fis de même en soupirant: "Comme tu veux...". Je portais un main à mon cou endoloris. Lorsque je la regardais, elle était tâchée de sang. Il prit ma main et y dépose un mouchoir en papier. Je l'appliquais sur mon cou. Il ordonna ensuite de connaitre tous les détails de l'histoire. 

- Nous n'avons pas le temps, protestais-je. 

Je lui saisis précipitemment le bras, ce qui le surpris. Je lui expliquais le cas préoccupant de Drake. 

- C'est l'ennemi, me coupa Clarisse. Nous n'avons pas à lui venir en aide ! 

Je l'ignorais pour ne m'adresser qu'à Percy. 

- Je t'en pris, le suppliais-je, une chose que je ne faisais que très rarement. Je n'ai rien à t'offrir sauf le bénéfice de sauver une vie. S'il-te-plaît... 

Il fixa son regard sur mon visage suppliant. 

- Prenez de l'ambroisie, ordonna-t-il. On y va ! 

Un soupir de soulagement s'échappa de mon être entier. Et sans lâcher l'avant-bras du fils de Poséidon, je courus vers le lieu où j'avais laissé Drake. Je le retrouvais facilement et meprécipitais vers lui, lâchant enfin Percy. Ce derner s'agenouilla près de moi et me tendis un carré d'ambroisie. 

- Merci, chuchotais-je en plogeant mes yeux dans les siens. 

Il sourit. Je caressais doucement la joue de mon accolyte en lui mettant le caré ambré dans la bouche. Je le forçais à mâcher en l'y encourageant. Il s'exécuta laborieusement. Sa respiration se calma lentement. Je remarquais alors que Percy avait rejoint ses camarades et tous étaient en grande discussion. Je les regardais silencieusement. Puis, le jeune garçon revint vers moi. Il semblait légèrement gêné. Ses joues avaient pris une légère teinte rosé qui lui allait bien. 

- Il devrait s'en sortir, murmura-t-il en faisant un geste évasif vers Drake. 

Je hochais la tête. Grâce à lui, c'était le cas. 

- Merci, chuchotais-je. 

- Ne me remerciais pas, rétorqua-t-il en secouant la tête, ce qui fit voler ses mêches rebelles. 

Il se tut un instant puis repris la parole en dansant anxieusement d'un pied sur l'autre. 

- Vous n'avez rien à offrir en échange, demanda-t-il enfin. 

Je secouais la tête. Je n'avais rien. Rien du tout. 

- Tu comprends qu'on ne peut vous laisser parti comme cela... 

Je le regardais sans comprendre. Mais où voulait-il en venir ? Je contemplais ses grands yeux. Il fuit un instant mon regard. Puis, il s'agenouilla de nouveau à mes côtés. Je gardais les yeux rivés sur son visage. Soudain, un cliquetis me fit baisser les yeux sur mon poignet. Une menotte grise l'ornait. 

- Mais qu'est-ce que tu fais, hurlais-je en me redressant brusquement. 

Il se releva également. 

- Je suis dans l'obligeance de faire de toi ma prisonnière, s'exclama-t-il en refermant l'autre menotte sur son propre poignet. 

3 mars 2015

Coucou ! Comme la dernière publication était

Coucou ! Comme la dernière publication était courte, je vous donne la suite maintenant ! J'espère que ça sera à la hauteur de vos espérances ! 

Suite Chapitre 8

- Oui, c'est ça, s'exclama Métis d'un ton enjoué. Elle était d'une blondeurs absolue et très intelligente, elle...

- Ce sont les troupes de Cronos, s'indigna Clarisse en tapant du point sur son genou. 

- Mais le savoir est universelle, Fille d'Arès, répondit séchement la jeune rouquine. Et je viens toujours en aide aux enfants d'Athèna ! 

Elle marmonna ensuite que la famille passait avant tout. Je jetais un coup d'oeil interrogateur vers Tanaïs, elle haussa les épaules. 

- Par où devons-nous aller, demandais-je, pressé de partir pour rattrapper notre retard. 

Métis retrouva son adorable sourire et se leva en nous demandant de l'attendre ici. Elle revint au bout d'une dizaine de minutes. Elle vint se placer entre Tanaïs et moi et déplia une carte. 

- Vous voyez ce point, commença-t-elle en nous l'indiquant, c'est le lieu où se trouve la carte qui vous mènera vers la dague. La dernière personne à l'avoir possédée l'a mise en sécurité pour l'empêcher de tomber entre de mauvaises mains. Et il a caché la carte menant à elle dans ce lieu. A l'origine, c'était désdertique mais ce n'est plus le cas maintenant.

Elle replia la carte et me la tendit.

- Mais sache que le chemin ne s'indique que pour les personnes dont les intentions sont pures et désinterréssées.

Je la remerciais et m'apprêtais à partir lorsqu'elle me retint par le bras.

- Laissez-moi vous donner un morceau de tarte aux pommes. Mon dessert préféré !

Elle fila vers la cuisine et elle revint avec une boîte en carton dans laquelle se trouvait quatre odorant morceaux de tarte. Nous la remerciâmes avant de quitter la maison si accueillante de la jeune femme. Nous décidâmes de prendre le chemin de ce fameux "point" immédiatement. Métis nous regarda partir en nous faisant un petit signe de la main. Grover lui répondit amicalement. Je fis de même et nous quittâmes les lieux. Nous nous arretâmes à une table de pique nique pour déguster la tarte aux pommes et étudier la carte que nous avait offerte la personnification de la sagesse et de l'intelligence rusée. Je la dépliais sur les planches de bois et me penchais dessus.

- Ne met pas de miettes dessus, me rebroua Clarisse en époussetant la carte de sa main libre.

Je levais les yeux au ciel. Voilà qu'elle était maniaque...

- Nous ne devrions pas nous presser pour rattraper Annabeth et le rouqin baraqué, demanda Tanaïs, étonnée.

Clarisse secoua la tête. Pour elle, se précipiter était le meilleur moyen de se trouver dans les pires ennuis. Et je m'y connais en précipitation et aventure désastreuse, ajouta-t-elle. Je décidais donc d'écouter son conseil et terminais mon morceau de tarte avant d'étudier le plan. Le point rouge se touvait à plusieurs centaines de kilomètres d'ici et semblait être en pleine forêt. 

- Forêt nationale d'Allegheny, déchiffrais-je sur la carte déjà usagée. 

- L'avantage, c'est qu'on est déjà en Pennsylvanie, remarqua Grover en réajustant ses basketts. 

J'acquiesçais. Mais l'inconvénient c'est qu'on devait parcourir près de 500 kilomètres, d'après les calculs de Tanaïs. 

- Vous croyez qu'il est possible de prendre le bus ? 

-  On ferait peut-être mieux de prendre le train, rétorqua Tanaïs en ramassant un dépliant qui trainait par terre. 

Elle regarda les horaires des trains et nous annonça que nous pourrions attraper celui qui partait dans moins d'une trentaine de minutes. Ce fut la course folle jusque la gare mais la chose fut faîte. Clarisse acheta les billets en catastrophe et nous grimpâmes dans la rame. 

- Heureusement que mon père m'a fait une carte banquaire, plaisanta Clarisse en exibant le précieux sésame. 

Nous la remerciâmes en nous installant. Je me laissais tomber sur un siège et Tanaïs fit de même à mes côtés. Pendant près d'une heure, je regardais fixement le paysage défiler par la fenêtre lorsque je sentis quelque chose cogner sur mon épaule. Je tournais la tête dans cette direction. Mon visage se retrouva alors à quelques centimètres de la figure de Tanaïs. Cette dernière était tombée endormie. Je décidais de la laisser se reposer même si je devais pour cela jouer les oreillers improvisés. Je souris en tournant la tête vers la fenêtre pour reprendre ma contemplation du paysage. Plusieurs heures plus tard, je me rêveillais. Moi aussi j'avais sombré dans le pays des rêves. Je remarquais immédiatemment l'absence de Clarisse. Grover m'indiqua le panneau qui annonçait la direction à suivre pour les toilettes et je compris son message. Une grosse bonne femme d'une cinquantaine d'année arriva à ce moment au bout du couloir. Elle était boudinée dans un manteau rose bonbon dont les boutons menaçaient d'éclater à chaque mouvement. Elle portait un paire de chassure à talons aiguilles dont la moitié de ses pieds ressortait et un horriple chapeau vert criard.  Mais le pire c'était son visage où se trouvait deux yeux de fouines et un énorme nez. Sa simple vu m'agressait visuellement. Je grimaçais en l'indiquant du menton à Grover. Il se retourna vers elle et fit volte-face précipitemment. Je ris franchement. Les yeux de fuine noirs ébène se fixèrent sur moi. Mon rire s'étrangla dans ma gorge à la vu de l'air féroce qu'elle avait. Elle s'approcha aussi rapidement que ses chaussures à talons le lui permettaient. Elle se stoppa à notre hauteur. 

- Cette place est libre, demanda-t-elle d'une voix grasse. 

Je secouais la tête en expliquant que notre amie était sur le point d'arriver. Elle sembla deçue de ma réponse mais partie s'asseoir plus loin. Je la suivis des yeux et je fus stupéfait à la vue de la queue en tirbouchon qui ornait son énorme derrière. Je restais immobile, la bouche ouverte, à contempler la queue qui se balancer au rythme des pas de la femme. Grover me donna un coup de pied. 

- Ca va pas de la fixer comme ça, s'indiagna-t-il. 

- T'as vu sa queue, m'exlamais-je, abasourdi. 

Grover tourna la tête vers la grosse femme. 

- Je sais pas où t'as vu une queue, mec, mais je crois que tu ferais mieux de dormir ! 

Etonné, je jetais un nouveau coup d'oeil et notais l'évidente absence de la queue en tirbouchon. Pourtant je ne l'avais pas rêvée ! Elle était là il y a quelques instants ! Clarisse se laissa tomber dans son siège. 

- T'as vu cette femme, lui demanda Grover, rieur. 

- J'ai pas pu la manquer, elle prenait toute la place dans le couloir pour aller aux toilettes, râla la jeune fille en fixant le sujet de leur conversation. 

Je les réprimandais sur leur manque de respect et Clarisse me toisa, indifférente. Soudain, la femme se releva et repartit dans l'autre sens, repassant près de nous. Elle fit tomber quelque chose et Clarisse le ramassa par pur réflex. 

- Madame votre.... bouton....

Elle resta sans voix devant le spectacle qui s'offrait à nous. Les boutons du manteau volèrent dans toutes les direction et les coutures se déchirèrent. Je secouais Tanaïs pour la rêveiller alors que la femme prenait encore de l'embonpoint. Mon amie se rêveilla en râlant. 

- Non mais ça va pas, je...

Le reste de sa phrase se transforma en un cri d'effroi à la vu de la transformation qui s'opérait face à nous. Le nez s'élargi et devint un groin, ses jambes et ses bras se transformèrent en pattes puissantes et sa peau se colora doucement en rose... Le monstre occupait tout le couloir, nous empêchant de l'empreunter. Je me levais rapidement et montais sur les sièges et les accoudoirs afin de fuir ce qui ne manquerait pas de devenir notre adversaire. Le reste de la troupe me suivit et nous courûmes vers l'autre rame. Je jetais, bien malgré moi, un regard en arrière et un énorme cochon se trouvait maintenant à la place de la passagère. 

- C'est un cochon, hurlais-je. 

- La laie de Crommyon, devina Tanaïs sans même jeter un coup d'oeil en arrière. C'est une bête féroce et...

- On n'a pas besoin de l'artcile de l'encyclopédie, hurla Clarisse en poussant Tanaïs alors que la truie chargait dans notre direction. 

Je sortis Turbulence d'un geste habile et pointais mon arme vers l'affreux cochon. La bave coulait sur le menton de l'animal et il pila net devant l'arme. Je reçus des éclats de mucus gluant sur mont tee-shirt et mon visage. Je grimaçais de dégoût. Clarisse sortit une sorte de lance mais je la bloquais du bras. 

- Trouve plutôt un moyen de sortir, criais-je. On a aucune chance contre une bête de ce genre ! 

- On peut la battre, répondit-elle. 

- Pas dans un espace confiné comme celui-ci, rétorquais-je en donnant l'assaut. 

Clarisse vint me prêter main fort sans faire attention à ce que je lui avais dit. 

- Le moyen de sortir, hurlais-je en la poussant pour que nous évitions la truie enragée. 

- Tanaïs est sur le coup, répondit-elle sur le même ton en se relevant difficilement. 

Le train fit une embardé et nous nous retrouvâmes jetés contre la cloison. Clarisse m'attérrit sur le torse et je grognais. 

- Désolé, chuchota-t-elle. 

La truie revenait dans notre direction et je lui entaillais le flanc. Cet acte la mit dans un colère encore plus noire et elle donna un énorme coup de museau dans l'abdomen de mon accolyte qui attérrit plusieurs mètres plus loins. La panique gagnait les passagers et ils commençaient à crier et à courir dans tout les sens. Je profitais de la pagaille pour aider Clarisse à se relever. 

- Des terroristes, hurla une vieille femme en s'agrippant à son siège. 

- J'ai trouvé des portes qu'on peut ouvrir, hurla Tanaïs en courant vers nous. 

Je la suivis en courant lorsqu'un hurlement me fit me stopper net. Je saisis le bras de Clarisse. 

- On ne peut pas laisser ces gens comme ça, m'égosillais-je. Il faut venir à bout de cette chose ! 

Clarisse leva les yeux au ciel. 

- Arrête de changer d'avis constemment, s'écria-t-elle en me poussant pour courir attaquer le monstre. 

Je la suivis en hurlant que seuls les idiots ne changeaient pas d'avis. Tanaïs et Grover vinrent nous prêter main forte. Les passagers hurlaient que nous avions des fusils. La brume les faisait vraiment voir n'importe quoi... 

       La truie était vraiment très forte. Elle nous envoyait constemment contre les murs. Et elle avait mordu Grover jusqu'au sang. Nous ne faisions pas le poid. Soudain, une idée germa dans mon esprit. La seule manière de la battre était d'attaquer par au-dessus, là où elle ne s'attendait pas à nous voir ! Je criais aux filles et à Grover d'occuper la bête et bondit sur les sièges. Je courus de dossier en dossier. Les filles se battaient de toutes leur force et l'une protégeait l'autre comme si elles avaient toujours fait ça. Ce qui devait être le cas. Leur cheveux en bataille volaient autour d'elles à chacun de leur mouvement et sur leur visage coulait délicatement des perles de sueur. Je leur jetais un dernier coup d'oeil avant de me propulser vers l'avant en un cri. J'atterris brutalement sur la peau grasse et tendue de l'affreuse laie. Je glissais sur le flanc et allais tomber lorsque je réussis à planter mon épais dans la peau dure de la bête. Elle grouina férocement et s'élança violemment vers les filles. J'entrepris de grimper sur son dos et rampais jusque sa tête. Et au moment même où elle s'apprêtait à renverser Clarisse d'un coup de groin, je lui tranchais la tête. La bête tomba en poussière et je fis une chute de plusieurs mètres. Je m'écrasais par terre en criant. Clarisse m'aida à me relever. 

- Beau travail, Percy, murmura Tanaïs en essuyant son épée sur son jean.

- Vous étiez pas mal non plus, rétorquais-je en époussetant mon tee-shirt.  

Des personnes arrivèrent alors en courant. 

- Ce sont eux, ils sont armés, hurla l'un d'eux. Ce sont les terroristes ! 

Quoi ? Mais on venait de leur sauver la vie ! Clarisse me saisit le bras et m'entraîna vers la sortie qu'avait trouvé Tanaïs. Cette dernière provoqua l'ouverture des portes. 

- Sautez, hurla-t-elle. 

Je ne réfléchis pas une seconde de plus et sautais du train en marche. J'attérris brutalement sur de l'herbe et grimaçais. Le train continua sur sa lancé dans un bruit assourdissant. Le vent fit voler mes cheveux dans tout les sens. Un gémissement me fit me relerver rapidement. Tanaïs se tenait le poignet en geignant. Clarisse l'aida à se relever. Je les rejoins. La fille d'Arès m'expliqua que Tanaïs s'était retournée le poignet dans sa chute. Nous l'entrainâmes vers la rangée d'arbre qui se dressait devant nous. 

- Il faut bouger, Tanaïs, l'encourageais-je. Mais je te promet qu'après on s'occupera de toi. 

Je lui saisis la deuxième main alors que Clarisse la tenait par la taille. Grover, aidé d'une de ses béquilles, nous aida à nous frayer un passage à travers la végétation. Soudain, nous arrivâmes sur une plaine où il y avait certaine partie ensablée. 

- Une aire de golf, chuchota Clarisse, surprise. 

Je contemplais le paysage environnant. Un petit bâtiment se dressait un peu plus loin. Et le soir commençait à tomber. Je fis signe à mes camarades de me suivre et nous nous dirigeâmes jusque cet endroit. Clarisse se pencha sur la serrure et la crocheta habilement. Nous pénétrâmes dans le local à sa suite. Elle alluma la lumière. 

- Heureusement que ça ferme à 17h ce truc, grommela-t-elle. 

- Comment sais-tu ça, demandais-je, étonné. 

La jeune fille m'indiqua un panneau sur lequel les horaires d'ouverture était affiché. Je ne pus que me sentir idiot. Je décidais donc de m'asseoir près de Tanaïs dont Grover s'occupait déjà. Elle avala un carré d'ambroisie.

- Tu te sens mieux, lui demandais-je.

- Attend que ça fasse effet quand même, me réprimanda Clarisse en s'asseyant avec nous.

Elle sortit ensuite de son sac un paquet de gâteau et nous le tendit. Je me servis et le passais à Grover. Le biscuit craquait sous mes dents. Je sentis le coeur fondant au chocolat se répandre dans ma bouche. Clarisse partit en exploration avec Grover dès que le paquet de gâteau fut avalé. Je restais seul avec Tanaïs.

- T'inquiète pas, s'exclama-t-elle. Clarisse est comme ces gâteaux : rude à l'extérieur, douce à l'intérieur.

Je souris devant la cocasse comparaison. Soudain, le sujet de notre conversation revint. 

- Va explorer avec le biquet, m'ordonna-t-elle. Je reste avec elle. 

Je me levais pour rejoindre Grover. Nous passâmes de pièce en pièce histoire de voir s'il n'y avait pas quelque chose d'interessant ici. 

 

2 mars 2015

Me revoilà et avec la suite des aventures de ces

Me revoilà et avec la suite des aventures de ces héros ! J'espère que ça vous plaira ! Je m'excuse pour le retard ! Mais c'est pas une raison pour ne pas laisser de petits commentaires...;P 

Chapitre 8

       Tanaïs, Grover, Clarisse et moi ne perdîmes pas une minutes à tergiverser et partîmes sur nos pégases trouver ce fameux lieu où chantait les tourterelles. Nous arrivâmes rapidement sur les lieux. Clarisse sortit sa boussole de son sac à dos gris et s'orienta de son mieux. Elle nous indiqua le sud de son bras gauche. Nous la suivîmes. Il faisait chaud et le chants des oiseaux étaient déjà assourdissant. Ces cris insécents me donnaient mal au crâne. Je suivis néanmoins la jeune fille sans me plaindre. Elle plissait les yeux, concentrée sur sa tâche. Finalement elle se tourna vers moi. 

- La prophétie ne dit pas quelle distance il faut parcourir? 

Je secouais la tête en réflechissant. Je la récitais tout bas. 

Au sud de l'endroit où chantent les tourterelles tu chercheras, 

La seule personne qui te guider pourra,

Non, cela ne nous était pas indiqué. Cela aurait été bien trop simple, n'est-ce pas... Nous avançâmes donc longtemps. Clarisse, penché sur sa boussole, tentait de maintenir le cap. Au bout de plusieurs heures de marches, nous nous retrouvâmes devant une immense maison. Tanaïs me consulta du regard. Devait-on entrer? Je m'avançais et gravis rapidement les marches du perron. J'allais frapper à la porte lorsqu'une jeune femme ouvrit. 

- Vous voilà enfin ! Je vous attendais ! 

Etonné, je mis quelques minutes à me ressésir et Clarisse me poussa à l'intérieure de la maison. Nous n'avions plus qu'à espérer que ce ne soit pas un piège... La jeune rousse nous conduisit jusque dans la salle à manger où quatre tasses fumantes nous attendait. Notre hôte nous fit signe de nous installer. Je m'assis sans la quitter des yeux. Elle était jeune et plutôt jolie avec un sourire enjoleur et de petites fossettes qui lui donnaient un air rieur. La jeune femme s'installa au bout de la table et sourit. 

- Je suis... 

- Je sais qui tu es, héros, s'exclama-t-elle. Je sais même beaucoup de choses que tu ignores sur toi-même, fils de Poséidon sur qui repose le destin des Dieux. 

Je restais cois, la bouche ouverte. 

- Je suis Métis, nous annonça-t-elle, fille d'Océan et de Thétys. Et je vais vous aider dans cette quête. 

- Je croyais que Zeus vous avait avalé, s'écria Tanaïs, curieurse et surprise à la fois. 

- Oh mais c'était il y a longtemps ça ma petite, très longtemps, répondit-elle sans se départir de son magnifique sourire. Il m'a laissé sortir après m'avoir fait jurer sur le styx que je n'aurais jamais plud d'enfant. Il a tellement peur que que la prédiction d'Ouranos et Gaïa selon laquelle mon fils devait le détronner se réalise ! 

Je décidais de garder le silence afin d'éviter de dire des bêtises. Après tout, Zeus avait avalé cette jeune femme ! Il y avait de quoi être choqué ! 

- Mais ce n'est pas pour cela que vous êtes là n'est-ce pas, continua-t-elle. Rassurez-vous, je vais vous aider ! 

- Comment allez-vous faire, demandais-je. 

- Je suis la personnification de la sagesse et de l'intelligence rusée. Donc...

- Mais et Athéna, la coupa Tanaïs. 

- C'est grâce à moi, chuchota-t-elle en ponctuant sa phrase d'un clin d'oeil fugace. 

Elle se redressa brusquement en s'exclamant : 

- Et si nous en revenions à la raison même de votre visite ! 

Elle nous regarda un à un. 

- Mais vous ne buvez pas votre thé ? 

Un air peiné venait d'apparaitre sur son visage. Nous nous empressâmes de porter le breuvage à nos lèvres. J'en avalais une gorgée. La boisson revigorante était délicieuse avec une douce aigreur et une touche sucrée. C'était tellement bon que je pris une seconde grogée à peine avais-je avalé l'autre. Satisfaite, Métis reprit son bavardage. 

- Je vais vous donner des informations capitales, déclara-t-elle en souriant. La Dague Sépulcrale est l'instrument le plus chargé de magie négative qu'il existe dans ce monde. Lorsque tu voudras qu'elle soit en ta posséssion, elle va te prendre ce qui est le plus chèr à tes yeux. Et lorsque tu voudras la maîtriser, il va falloir que TU reconces sciemment à la deuxième chose la plus importante à tes yeux. Ces sacrifices donnent à la dague sa force mais aussi sa nociveté.

Ses révélations firent mon estomac se retourner. Les deux choses auxquelles je tiens le plus. C'était vraiment trop ! Mais j'avais accepté cette mission et je n'étais pas de ceux qui abandonnent sans rien tenter. Et puis, je n'avais pas grand chose qui me tenait vraiment à coeur. A part ma mère... Mais honnêtement, que pouvait-il lui arriver ? Je verrais donc en tant voulu...

- Vous feriez mieux de partir, jeunes héros. Il n'y a qu'une seule dague et vous êtes nombreux à la chercher.

- Quelqu'un est déjà venu, demanda Clarisse brusquement.

Métis acquiesça.

- Deux jeunes héros m'ont posés des questions.

Nous lui demandâmes une descriptions. Elle s'y plia de bonne grâce.

- Il y avait un grand rouquin très musclés et une fille d'Athèna particulièrement intélligente...mmm... Le Garçon a dit son nom, c'était....Anna...non... Annita... Ann....

- Annabeth, déclarais-je sans l'ombre d'un doute.

 

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