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Fiction Percabeth
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12 avril 2015

Enfin un peu de temps pour ma fiction!! Je suis

Enfin un peu de temps pour ma fiction!! Je suis désolée d'avoir déserté si longtemps... Pour me faire pardonner: 2 chapitres !! J'espère que ça vous plaira !! 

Chapitre 11

       Nous étions de retour dans le local de golf. Je me laissais tomber sur le sol, entrainant Percy par la même occasion. Il s'écrasa lourdement sur le carrelage. Je ne pus réprimer un éclat de rire qui me valut un regard noir. Je lui adressais un sourire ironique. 

- Reposons-nous, ordonna-t-il alors. Demain, nous aurons de la route à faire pour gagner la forêt nationale d'Allegneny. 

Il sortit de son sac un couverture et s'allongea à même le sol. Les autres firent de même. Je restais assis, lui tournant ostensiblement le dos. Et je gardais sa main en otage (pas parce que je le voulais mais parce que je ne pouvais pas faire autrement ! ). Percy tira sur ses doigts que je tenais fermement dans ma main. Lassé, il se stoppa. Je sentis son regard dans mon dos et frissonnais. Je me forçais à ne pas me retourner jusqu'à que ça me devienne impossible.

- Pourquoi tu me regardes ?

Les yeux vert d'eau du jeune garçon s'encrèrent dans les miens.

- Parce que tu es belle...

Je sentis le rouge me monter aux joues.  

- Arrête de dire n'importe quoi, m'exclamais-je en me retournant. 

Il vint s'asseoir à mes côtés et pris ma main contre lui. 

- Tu as les doigts gelés, remarqua-t-il en déposant le dos de ma main sur sa joue gauche. 

Le contact de sa peau chaude me fit frémir. Il me sourit tendrement et posa sa couverture sur mes épaules. "Viens dormir", chuchota-t-il en m'attirant vers lui. Je repoussais la couverture et la lui rendis. Il soupira. 

- Comme tu veux... Mais je garde ma main, s'exclama-t-il en tirant sur mon bras. 

Je tentais de retenir sa main et la mienne par la même occasion. 

- Non... C'est moi qui la garde, articulais-je difficilement sous l'effort. 

Il se stoppa et leva des yeux interrogateurs sur moi. J'annalysais rapidement ma dernière phrase et rougit violemment. 

- Je parlais de la mienne, cervelle d'algues, me fâchais-je devant son sourire goguenart. 

- Bien sûr... Tien, je te la laisse si tu y tiens tant... 

Je le fusillais du regard. 

- Pas du tout, m'écriais-je en la lachant spontannément. Tiens ! Reprend-la! 

Il sourit et ses doigts se détachèrent des miens. 

- Garde la tienne alors... 

Je lui tournais de nouveau le dos. Il se rallongea. J'était épuisée mais je n'avais aucune envie de me coucher à ses côtés. Mais la fatigue eut raison de moi et je me glissais sous la couverture. 

- Tu as changé d'avis, remarqua-t-il d'une voix ensoméillée. 

- N'en profite pas, le mis-je en garde avec un regard noir. 

Un petit sourire étira ses lèvres et il ferma les yeux. Je fis de même quelques minutes plus tard et sombrais dans un sommeil sans rêve. 

       Un grand bruit me fit sursauter. Je me rêvéllais brutalement et mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Je restais immobile, tous les sens aux aguets. Percy était lui aussi rêveillé. Il arborait un petit sourire arrogant. J'en cherchais la raison et remarquais que ma tête était posé sur son torse. Je me redressais brutalement. Il n'eut pas le temps de profiter de cette petite découverte gênante car la porte vola en éclat dans un bruit sourd. Je me baissais et quelques débrits passèrent au-dessus de moi. Je me relevais. Clarisse, Tanaïs et Grover faisait de même. Que ce passait-il? Je m'approchais de la porte losqu'une énorme silhouette se dressa devant moi. Je réprimais un cri de surprise mais ne bougeait pas d'un poil. 

- Qui êtes-vous, s'écria Clarisse, sa lance dejà en main. 

Un rire terrifiant résonna dans la pièce et fit mes poils se dresser sur mes bras. Percy me tira en arrière, derrière lui et Turbulence, prête à attaquer l'intrus. La chose fit son entrée et nous reculâmes d'un commun accord. Le tête, le torse et les bras étaient ceux des plus belles et gracieuses jeunes femmes. Des cheveux bruns tombaient sur ses épaules graciles en une cascade odonné et soyeuse. Sa beauté me laissait sans voix. Des yeux de biches d'un violet incroyable et des dents d'une blancheur... Un "oh" horrifié suivit d'un bêlement caractéristique me sortirent de ma torpeur. 

- Vous avez vu ses jambes, s'écria Grover, paniqué. 

Je baissais immédiatemment les yeux sur la partie inférieure du corps de la jeune femme et un hoquet de dégout se coinça dans ma gorge. Oh mon dieu... Une affreuse et visquese queue de serpent s'enroulaient grossièrement sur le sol. Je restais focalisée sur les anneaux de cette queue avec un regard horrifié. 

- Qu'est-ce que c'est, murmura Percy d'une voix presque inaudible. 

- Plutôt, qui est-ce, le repris-je par pur réflex. 

Le jeune homme leva les yeux au ciel. 

- C'est bon, puit de sagesse, étale-nous ta science... 

Je le fusillais du regard mais m,exécutait. 

- Il s'agit de Echidna ou encore Delphyné, la mère de ...

- Je suis la mère de la laie Crommyon, que vous avez oser tuer, rugit le monstre serpent. 

Oh non... Ils n'avaient pas fait ça ! Je questionnais Percy du regard. Il me demanda ce que nous devions faire. 

- Comment on se débarrasse de cette chose, murmura Clarisse en se rapprochant de Tanaïs. 

- Seul Argos a déjà tuer Echidna, déclarais-je en même temps que Tanaïs. 

Cette dernière me lança un regard furieux. Je détournais la tête. Percy me emanda comment il s'y était pris et je dus lui avouer que personne ne le savait sauf le principal interréssé... qui était ne l'avait jamais dévoilé ! Clarisse bougonna et Tanaïs la rassura d'une signe de tête. Le fils de Poséidon s'avança d'un pas vers Echidna. 

- Que voulez-vous, demanda-t-il, l'épée levée. 

Je me trouvais à moins d'un pas derrière lui et je voyais la tension dans la posture de ses épaules et de son dos. Une tension qu'il me communiquait... Je déglutis difficilement. Un sourire démoniaque apparut sur les fines lèvres roses de la montrosité qui nous toisait. 

- Pas grand chose, susurra Echidna. 

Ces quelques mots me firent frissonner. "Pas grand chose" signifiait généralement "beaucoup trop". Je saisit le poignet de Percy.

- Je souhaite vus punir pour la mort de mon enfant, déclara-t-elle avec un geste désinvolte de la main. Mais comme je suis quelqu'un de généreux, je vous laisse deux choix. Soit je lance sur vous tous mes chèrs enfants, soit je vous emmène là ou vous voulez. 

Je jetais un regard interrogateur à Percy. Il devait y avoir un piège quelque part. 

- Que demandez vous en échange si nous choisissons la deuxième option, m'enquis-je. 

- Une nuit d'amour avec le fils de Poséeidon. 

Je reculais vivement, tirant Percy en arrière. 

- Jamais, cria Percy en me maintenant derrière lui. 

- Ne prenez pas de décisions attives, jeune homme, minauda-t-elle en battant exagéremment des cils. Les plus grands m'ont cédé... 

- Héraclès, chchotais-je pour moi-même. 

Percy me jeta un regard surpris. Je lui expliquais donc qu'Echida avait volé à Héraclès les chevaux qu'il avait lui-même volé, c'est-à dire, les cavales de Diomède. Et pour qu'elle lui rende les juments, il dût s'offrir à elle. Et de cette union naquirent trois enfants, dont un seul survécu. Une grimace de dégout était apparut sur le visage du jeune garçon. Clarisse et Tanaïs faisait à peu de chose prêt la même tête. 

- On devrait choisir l'option un, chuchota Clarisse. 

Je secouais la tête. Personne ne pouvait faire face à Cerbère, aux vents malfaisants, au renard de Teumesse, au sphinx, à l'hydre de lerne, à la Chimère, à Ladon, à Orthos, au lion de Némée, au dragon de Coclchide et à l'aigle du Caucase en même temps ! La fille d'Arès pesta et frappa violemment du pied sur le sol. Je me tournais vers Percy. 

- Tu as confiance en moi, lui demandais-je en le regardant droit dans les yeux. 

Un grand silence suivit cette question. Le jeune brun me regardait intensemment. Mon coeur se mit à battre plus fort dans ma poitrine. 

 - Oui, souffla-t-il doucement. 

Je lui souris. 

- Alors j'ai un plan ! 

Chapitre 12

      Je m'avançais droit vers Echida, emmenant Percy derrière moi. 

- Percy accepte la deuxième option, déclarais-je. 

- QUOI, hurla-t-il surpris. 

Je lui lançais un regard noir. 

- Tu me fais confiance ?

Cela ressemblait plus à un ordre qu'à un question mais Percy ne s'en offusqua pas. 

- Là, je sais plus trop, répondit-il sur le même ton. 

Clarisse et Tanaïs s'apprêtais à me pourfandre violemment, mais il les arrêta d'un signe de la main. Ses yeux se plongèrent dans le miens, à la recherche du moindre indice qui pouvait le convaincre de me suivre. Il dût le trouver car il déclara être favorable à la deuxième option. Tanaïs tira percy en arrière et moi aussi par la même occasion. Le bracelet de fer qui ornait toujours mon poignet me fit grimaçer de douleur lorsqu'il entra dans ma chair déjà à vif. 

- Tu peux pas lui faire confiance, chuchota-t-elle sur un ton furieux. C'est l'ennemi ! C'est un traitresse ! Elle se fiche de ses amies et du reste également ! Elle se fiche de tout, rien n'a d'importance pour elle ! Et elle se fiche des sentiments des autres ! 

Je fis mine de ne pas être bléssée par ses paroles même si ce n'était pas le cas. Chacun de ses mots me faisait mal. Ils me brisaient de l'intérieur mais je restais tête haute, affrontant son regard haineux. 

- T'as un meilleur idée, demanda-t-il sur un ton agressif. 

La jeune fille secoua la tête sans oser le regarde en face. 

- Alors on suit Annabeth, jusqu'à que vous ayez une autre idée, on la suit. 

- Mais on ne sait même pas ce qu'elle a en tête, s'énerva Tanaïs de plus belle. 

- Faites ce que vous voulez, en tout cas, moi je la suit, déclara-t-il. 

Une douce chaleur se répandit dans tout mon être lorsque j'entendis ces quelques mots. Il me suivait.... 

- On y va, demandais-je d'un ton qui se voulait neutre. 

- Tu n'as rien à dire, tu n'es que la prisonnière, me cracha Tanaïs au visage en me passant devant. 

Je la suivis et nous retournâmes vers Echida. Elle commençait à montrer des signes extérieurs d'impatience. 

- Tout est réglé, annonçais-je. 

L'hybride allait se jeter sur Percy mais je me plaçais devant lui. Percy suintait la peur. Et je ne pouvais que le comprendre. J'avais terriblement envie de le prendre dans mes bras pour le rassurer. Mais mon plan était loin d'être infaillible... Mais il fallait que ça marche ! Nous n'avions plus le choix. 

- Vous d'abord, déclarais-je avec autorité. 

- Pardon, s'insurgea Echida, haineuse. Je suis celle qui décude ici. 

Il fallait que je la calme. Le sang battait à mes tempes et mon coeur battait de plus en plus fort. Il fallait que je reprenne le contrôle de la situation... 

- C'est vrai, concédais-je. Mais vous n'aurez rien si vous ne nous emmenez pas d'abord dans la forêt nationale d'Allegneny. 

Le monstre saisit violemment mon bras et le broya sous sa force titanesque. Percy voulut intervenir mais je lui ordonnais de ne rien faire. 

- Vous êtes tellement forte et intelligente que vous pouvez nous rouler facilement, dis-je alors que les larmes coulaient à flots sur mes joues. Vous prendrez ce qu'on vous donne sans nous rendre la politesse. Alors que nous, face à vous, nous ne pouvons rien. Nous serons forcés de remplir notre part du marché alors que vous non. 

Elle me lâcha violemment et j'atterris brutalement sur le sol. Je criais lorsque mon corps entra brutalement en contact avec le sol. Percy m'aida à me relever et essuya les larmes sur mes joues avec ses pouces. Je le laissais faire tout en surveillant notr ennemie. Elle semblait flatter par mes propos. Encore une qui devrait réviser ses classiques, les fables de La Fontaine ne sont pas la pour rien... Je souris intérieurement et remerciais le poète classique de m'avoir donné cette idée. Enfin, une partie tout au moins... 

- Je vois que vous n'êtes pas la fille d'Athéna pour rien, petite, s'écria-t-elle avec un grand sourire. 

Non, pensais-je, je ne suis pas la fille d'Athéna pour rien. Et comme je l'avais prévu, la flatterie fit Echida nous emmener là où nous le souhaitions. 

       Nous atterrimes doucement dans un jardin fleurit, décoré de nombreuses statues plus ou moins élégantes mais toujours très réalistes et effrayantes. Toutes avaient peurs. Je jetais un regard anxieux aux alentours. Mais où était-elle? Il allait absolument qu'elle soit là, sinon, je ne répondais plus de rien. Un noeud d'angoisse se forma dans mon estomac et je manquais rendre le contenu de mon estomac tellement la peur me tenait. Percy me saisit le bras et je grimaçais. Il s'excusa. 

- Et, maintenant, demanda-t-il. 

Maintenant... Nous allions mourir ! Je le regardais et me mordis les lèvres. 

- Tu n'attends quand même pas que... 

Non, avais-je envie de hurler. La colère brillait dans les yeux du jeune garçon. Je ne savais plus quoi faire. 

- Tanaïs avait raison, murmura-t-il. Tu es vraiment quelqu'un de détstable ! 

Mon coeur se serra brutalement et ma respiration se coupa. Les larmes brouillèrent ma vu un moment avant de disparaitre. Je ne lui ferais pas ce plaisir. Soudain, les menottes qui nous liait tombèrent dans l'herbe dans un bruit mat étouffé. Je les contemplais un moment avant de me tourner vers Echida. 

- Alors, fils de Poséidon, susurra-t-elle. Es-tu prêt ? 

Elle allait se jetter sur lui lorsque je me jetais en avant. Avant même de comprendre ce que j'étais en train de faire, je pointais l'épée de Percy vers Echida. Je me rendis compte ensuite que je me tenais tout contre Percy lorsque je sentis le contact de son torse muslé dans mon dos. Je rougis. Ahh! C'était bien le moment pour ça...

Echida éclata de rire.

- Crois-tu vraiment faire le poids face à moi, jeune héros ?

Elle secoua doucement la tête. J'avais mis Percy dans le pétrin, il était maintenant de mon devoir de le sortir de là ! Dire qu'il m'avait fait confiance alors que nous ne nous connaissions pas vraiment... Je m'humidifiais anxieusement les lèvres. Soudain, des bruits de pas me firent tourner la tête. Oh ! C'était inespéré ! J'avais soudain envie de sauter de joie. Jamais je n'avais été aussi heureuse de voir une femme comme elle !

- Que me vaut le plaisir de cette visite, demanda la nouvelle venue d'une voix suave. Je ne vois pas, faites-moi le plaisir de vous annoncer. 

- Annabeth, hurlais-je. 

Un rictus mauvais étira les lèvres de la jeune femme. 

- A moi de me présenter, fille d'Athéna. 

Elle porta la main à ses lunettes de soleil. 

- Fermez les yeux, hurlais-je de toute mes forces en suivant mon propre conseil. 

Un souffle puissant traversa mon corps. Je fermais les paupières le plus fort possible. Lorsque tout fut fini, je rouvris précotionneusement les yeux. Une statue de femme serpent se dressait devant moi. Je souris. Mon plan avait fonctionné ! Méduse avait remis ses lunettes. 

- Une nouvelle statue, s'exclama-t-elle. 

Elle s'approcha de la statue et la tatonna du bout des doigts. 

- Pas celle que j'avais espéré... 

Elle fit volte-face violemment et porta une nouvelle fois la main à ses lunettes. Je fermais les yeux. 

- Attendez, hurla Clarisse. 

La jeune femme se stoppa. Je rouvris doucement les yeux. 

- Nous sommes venu chercher la carte qui mène à la dague sépulcral, annonça Percy en me tirant en arrière. 

Il se mit devant moi et me maintint derrière lui de mannière protectrice. 

- Qu'as-tu à donner en échange, demanda Méduse.

 Percy resta silencieux. 

- Fait ce qui était prévu, cria Tanaïs en lui donnant un claque sur le bras. 

Le jeune garçon ne bougea pas. Tanaïs soupira d'agacement. 

- Tu sais que c'est la seule solution, dit-elle en posant un main apaisante sur son épaule.

Je me demandais bien à quoi pouvait bien faire allusion Tanaïs. Qu'avait-il prévu pour se sortir de se mauvais pas? 

- Allez..., chuchota-t-elle doucement. Fait-ce que tu as à faire pour les dieux, pour la colonnie et pour nous, tes véritables amis. 

Elle appuya sur le mot "véritable". J'avais un mauvais préssentiment. 

- Je suis désolée... Pardonne-moi...

Tanaïs secoua la tête de dépit aux quelques mots prononcés piteusement par Percy. Puis, ce dernier releva la tête pour faire face à Méduse. 

- Oui, nous avons amené un présent pour toi, déclara-t-il, d'une voix ferme. 

Il prit une profonde inspiration. 

- Annabeth, hurla-t-il en me jetant au pied de Méduse. Fille adorée d'Athéna. 

 

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Commentaires
G
oui bien sur ;)
J
Ce week-end si tout se passe bien... J'espère que tu seras au rendez-vous ;)
G
j'aime bien ta fic ! a quand la suite ?
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