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Fiction Percabeth
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26 avril 2015

Coucou ;) Quelle joie de pouvoir se concacrer à

Coucou ;) Quelle joie de pouvoir se concacrer à cette fiction... Et oui, c'est enfin les vacances !! Alors je vous poste la suite.... Merci à tous pour vos commentaires vraiment symapthiques !! 

Chapitre 16

PDV Percy 

       Il l'avait emmenée....Et en la prenant dans ses bras en plus ! Je serrais les poings en le regardant franchir la porte, ses lèvres collées à celle de la jolie blonde. Je tapais du poing sur les barreaux. Comment pouvait-elle accepter cela ? Non mais, il l'avait frappée bon sang ! Et maintenant, il venait comme une fleur et l'embrassait ! Et elle le laissait faire ! Je soupirais de colère. Si je n'avais pas été le spectateur enfermé de cette scène immonde, j'aurais collé mon poing dans la figure de cette abruti ! J'imaginais un instant la scène. Je souris à cette pensée. Le nez de ce gougat en sang... Une vision qui m'aurait sans aucun doute réjouie... Mes pensées dérivèrent vers Annabeth... Sa peau était d'un douceur infinie. Et ses yeux...ses yeux renplis de larmes à cause de cette abruti ! Ses yeux...ses yeux orage déversant une pluie sur ses joues roses... Je baissais les yeux sur ma main, celle qui avait doucement caressé la peau tendre de la fille d'Athèna. Elle était si belle... Même quand elle pleurait elle était belle... Je passais le bout de mes phalanges sur ces doigts sacrés qui avaient eu cette chance inoui de la toucher. C'est sûr, elle faisait fausse route ! Il ne pouvait pas la rendre heureuse ! ll... Une voix me fit sursauter. 

- Percy, chuchotais Tanaïs, près de moi. Tu vas bien ? 

Je hochais la tête. Bien sûr, que j'allais bien !

- Tu te joins à nous, me demanda-t-elle. On cherche un moyen de s'évader. 

Elle posa ses doigts sur mon bras et me tira vers le reste du groupe. Je me laissais tomber près de Grover. Tanaïs s'installa près de moi. 

- Maintenant qu'on est débarrasser de cette plaie, on va...

- C'est quoi ton problème avec elle, m'énervais-je, la coupant dans son discours. 

Tanaïs se tut brusquement. Elle planta ses yeux vers moi. Il brillait d'un dur éclat de haine. 

- C'est l'ennemi, rétorqua-t-elle d'une voix sévère et grave. 

Je la regardais. Il y avait plus que ça... Bien plus que ça. J'attendis un instant qu'elle m'explique.  

- C'est compliqué, chuchota-t-elle subitement d'une voix altérée. 

Clarisse se leva et vint la prendre dans ses bras. Visiblement, c'était un sujet sensible. Cela éguisa ma curiosité. 

- On est enfermé, on a pas de plan pour sortir, résumais-je tout haut. 

Je regardais Tanaïs en déclarant que nous avions visiblement tout le temps. Clarisse me fusilla du regard. Elle allait déverser sur moi une colère protectrice lorsque Tanaïs posa sa main sur son bras, lui signifiant ainsi qu'elle allait le faire. La fille d'Arès leva les yeux en ciel en soupirant : "Comme tu voudras, Bout-en-train..." La jeune fille resta un instant silencieuse. Elle cherchait comment exprimer ce qu'elle voulait de la meilleure manière possible. Finalement, elle se lança. 

- Je suis arrivée il a à trois ans à la Colonnie des Sang-mêlées. C'est Annabeth qui m'a accueillie. Elle était gentille. Elle était avenante. Elle me fit visiter. Mon père ne m'a pas reconnue comme sa fille immédiatemment alors, je me sentais un peu mal. Et j'étais vraiment nulle dans tout ce que j'entreprenais. Maladroite, timide... C'est une fille d'Arès qui m'apprenait à me battre. Mais pas avec une manière douce... Alors que je faisais des pompes en punition de je ne sais quelle erreur stupide, Annabeth est arrivée. Son poignard en main, elle apprenait à une autre nouvelle recrue les mouvements de base. Elle se ressemblaient toutes les deux. J'en conclue qu'elles étaient toutes les deux des filles d'Athèna. Elles riaient. Elles s'amusaient bien. J'étais jalouse. Moi, je n'avais pas de famille. Pas d'amis... Rien. Rien, sauf une entreineuse démoniaque. A la fin de mon entraînement, je suis restée un peu, pour continuer à m'améliorer. Et Annabeth est venue... Elle a corrigé mes mouvements et m'a donné des conseils. Depuis, on se retrouvait toujours après mon entrainement, comme si un accord tacite avait été passé entre nous. Elle était tellement forte, douée, respéctée de tous... Et c'était la petite préférée de Chiron. Elle était mon modèle. Je voulais tellement lui ressembler. J'avais envie qu'elle m'aime comme une soeur ! Je voulais être une fille d'Athèna ! En plus, j'étais passionée par le savoir, la sagesse... J'ai dit à Annabeth que je voulais être une fille d'Athèna. Elle as souri en me disant qu'on ne choisissait pas ses parents. Et elle avait raison... Alors qu'elle s'engageait à m'aider pour acquérir une base solide dans la connaissance du monde Grec, mon père s'est manifesté. Fille d'Arès... J'étais une fille d'Arès... J'ai cru que le ciel me tombait sur la tête. Les Arès et les Athèna se détestent ! Mais Annabeth ne s'en est pas formalisée... Elle a tenue ses engagements et a continué à être avec moi une véritable soeur... D'ailleurs c'est ce qu'elle disait " soeur de coeur". Quelle menteuse ! 

Elle tapa du poing sur sa cuisse et renifla. 

- Quelle...menteuse... Elle disait que je pouvais acquérir un savoir suffisant et que je pourrais concurrencer les enfants d'Athèna si je continuais à apprendre autant. Je suivais ses conseils. Malgré le fait que je sois une fille d'Arès, je me comportais comme une fille d'Athèna. En tout cas, j'essayais... Elle m'avait promis d'être ma "soeur à jamais". Elle disait que nous serions toujours ensemble. Un jour, elle m'a demandé de l'aide. Elle souhaitait se balader avec un ami sur la plage pendant la nuit. Mais pour ça, elle devait être capable de battre les Harpies facilement. Je lui ai donné mon amulette. Celle que mon père m'avait offerte en faisant de moi sa fille. C'est une amulette qui donne la force d'Arès à celui qui l'a porte. Elle n'est jamais revenue de la plage. Et plusieurs mois plus tard, j'ai appris qu'elle avait rejoin l'armée de Cronos. Je ne l'ai pas cru. J'ai refusé de le croire jusqu'à ce que j'ai la preuve irréfutable de sa trahison envers la Colonnie.....envers moi. 

Tanaïs fixa ses yeux larmoyants dans les miens. 

- Tu vois, pleura-t-elle. Elle n'est pas la fille fiable que tu crois ! Elle est égoïste et manipulatrcie ! Elle se fiche du mal qu'elle fait autour d'elle. Ce n'est pas une fille bien ! Ce n'est pas une fille pour toi... 

Clarisse prit son ami dans ses bras après lui avoir donné un mouchoir. Tanaïs se réfugia dans l'étreinte réconfortante de son amie. 

- Il y a sûrement une autre version des choses, tentais-je de relativiser devant les pleurs de Tanaïs. Annabeth a sûrement de bonnes raisons pour... 

- J'ai dû la ramasser à la petite cuillère, moi, s'écria brusquement Clarisse. Elle était dévastée ! Alors ne me parle pas de bonnes raisons ! Il n'y a jamais de bonnes raisons pour abandonner une personne qui compte sur vous ! Tanaïs n'avait que 10 ans lorsqu'elle est arrivée à la Colonnie. Et Annabeth a remplie le rôle de maman/grande soeur pour elle avant de la manipuler et de l'abandonner ! Elle l'a bersée d'illusions stupides avant de la laisser se débrouiller seule ! Tanaïs n'avait qu'Annabeth ! Elle n'était ni une Arès, ni une Athèna, ni intégré d'un côté, ni de l'autre ! Elle était le produit des mensonges d'Annabeth ! 

Je fus surpris par la véhémence de Clarisse. Et aussi par le jeune âge de Tanaïs... Elle paraissait tellement plus mure et plus âgée... Jamais je n'aurais pensé qu'elle n'avait que 13 ans ! Je fis un rapide caclcule dans ma tête. A l'époque, Annabeth devait avoir quelque chose comme 12 ans.... Toutes les deux n'étaient que des enfants ! Annabeth s'était retrouvée avec la responsabilité des rêves d'une gamine deux ans plus jeune qu'elle ... Mais à cette âge, à 12 ans, elle aurait dû se rendre compte de ce qu'elle représentait pour Tanaïs ! Et une fille d'Arès ne pouvait devenir une fille d'Athèna ! C'était impossible ! Pourtant... Tanaïs est remplie d'un savoir important... Un savoir qu'Annabeth lui avait donné... Je ne savais plus vraiment que penser... Oui, Annabeth avait des torts dans cette histoire mais était-elle pour autant la fille manipulatrice qu'on venait de me présenter ? Ou était-elle la fille perdue et manipulée que j'avais cru entrevoir ? Cette fille d'Athèna était vraiment quelqu'un de mystérieux... Et je souhaitais résoudre ce mytsère... 

       Je proposais à mes troupes de se reposer. Après toutes ses émotions, nous allions avoir besoin de repos avant de trouver un plan qui tienne la route. Je m'allogeais sur le sol froid et fermais les yeux. Alors que je glissais dans le sommeil, je sentis une poids se déposer délicatement sur ma poitrine. 

- Je peux, me demanda une petite voix fatiguée. 

- Oui....Annabeth, soufflais-je en me laissant sombrer dans un sommeil profond. 

Je rouvris les yeux. Je me trouvais maintenant dans un couloir sombre. Mais que faisais-je là ? Et comment y étais-je arrivé ? J'entendais des voix provenant d'une porte entrouverte un peu plus loin. Je m'approchais à pas de velours et glissaient un oeil par la fente. Luke et un de ses acolytes étaient penchés sur une carte du monde. Nous étions dans la salle de commandement du navire. Je tendis l'oreille pour percevoir leur conversation. 

- La carte est vraiment vierge, demandais le premier. 

- Moi, je n'y vois absolument rien, répondis Luke, toujours penché sur la mapmonde. 

- Et elle ? 

- Annabeth voit le chemin. 

Il se releva. 

- C'est fou qu'elle voit quelque chose là où nous ne voyions rien. A part elle, personne ne voit ce qui est marqué sur cette fichu carte, s'énerva-t-il. Même moi, je ne vois rien ! Et pourtant je suis certain que mes raisons sont nobles ! 

Il ponctua sa phrase d'un coup de poing violent sur la table. Les crayons et le compas tremblèrent. Soudain, des bruits de pas derrière moi me firent sursauter. Je fis volte-face et cherchais une cachette. C'était un réflex logique ! Mais il n'y avait pas un endroit où me planquer. Et Annabeth apparut au bout du couloir. Il fallait que je me trouve un excuse, un truc pour expliquer ma présence... La jeune blonde continua son chemin, sans faire attention à moi. Elle ne me voyait pas... Je soupirais de soulagement. Mais quel idiot j'étais ! C'était encore un de ses rêve de Demi-dieux... Je reportais mon attention sur la jeune fille. Ses longs cheveux blonds flottaient librement sur ses épaules et un sourire magnifique décorait son visage. Je pinçais les lèvres. Si seulement ce sourire avait été pour moi... La jeune fille s'arrêta devant la porte et regarda un instant Luke, concentré sur sa tâche. Elle était jusqte à côté de moi. Son odeur de fraises des bois m'enivrait... Et ses lèvres roses légèrement entrouverte étaient plus que tentantes. Auraient-elles un goût de Fraises ? Je les fixais intensément et pensais à la sensation délicieuse de poser les miennes dessus....  Oh mon dieu ! Mais qu'est-ce qui te prend, Percy ? Reprend-toi mon vieux ! TU ES EN MISSION ! Je secouais la tête pour dissiper ses pensés indécentes de mon esrit ! Mais qu'est-ce qu'il m'arrivait ?

       Annabeth allait pénétrer dans la pièce lorsqu'un phrase la fit se figer. 

- Alors, toi et Annabeth, c'est du sérieux, demanda l'accolyte. 

Luke leva les yeux vers son ami. 

- Pourquoi, elle t'interresse, demanda-t-il tranquillement. 

- Faut avouer qu'elle a un beau petit cul, sourit le gars. 

Je me redressais brutalement. Alors ce gars, il tenait vraiment pas à la vie ! Non mais quel crétin ! Si je n'avais pas été dans un rêve, je lui aurais cassé la gueule sans attendre. Annabeth semblait tout aussi énervée. Je crus qu'elle allait entrer pour lui régler son compte... Pourtant elle n'en fit rien et serra les poings. Un léger froissement me fit baisser la tête vers ses mains. La carte... Elle avait la carte ! Si seulement je pouvais la lui subtiliser... 

- Mm, c'est pas faux, murmura Luke, l'air pensif. 

Cette réponse me mit hors de moi. J'en oubliais la carte. Non mais ! Il devrait défendre sa copine ! Pas laisser ce gougat la regarder de cette manière indécente ! 

- Alors, c'est du sérieux, repris l'autre mec. 

- Ecoute, Cruz, Annabeth est une fille géniale. 

- ça ne répond pas à la question ,le coupa le dénommé Cruz. 

Annabeth sourit lorsque Luke prononça le mot "géniale". Cela m'énerva. 

- Annabeth est un génie, la cause a besoin d'elle ! Et si pour qu'elle s'investisse totalement dans cette quête, il faut que je joue les amoureux éperdus. Ok, pas de problème ! Nous avons besoin d'elle. 

Annabeth s'était figée. Les larmes roulaient déjà sur ses joues. Mon coeur se serra. Je voulais la serrer tout contre moi pour la réconforter. La jeune fille tremblait de tistesse et de rage. 

- Oooh, je vois. C'est son géni qui t'interresse ! 

- T'as tout compris, ajouta le fils d'Hermès avec une claque fraternelle dans le dos de son ami. 

- Alors, tu me l'as prêterais pour une soirée torride, s'exlama-t-il en souriant bêtement. 

Luke éclata de rire quelques minutes après Cruz. Ces deux mecs me donnaient la nausés. Comment pouvait-il considérer Annabeth comme un simple objet ? Annabeth... Je tournais la tête vers elle. La tête baissée, elle tentait de maîtriser ses larmes. Avant que je ne pose ma main sur son épaule, elle avait fait volte-face et quittais ce couloir en courant.

- Luke... Je te jure que tu paireas le mal que tu lui fais, chuchotais-je. J'y veillerais personnellement ! 

 

 

Chapitre  17 

       Une main sur ma joue et des chuchotements me réveillèrent. J'ouvris les yeux. Le visage de Tanaïs me surplombant fut la première chose que je vis. Elle me sourit doucement. 

- Réveillé, marmotte, s'exclama-t-elle, rieuse. 

Je me redressais. Ma première pensée claire fut pour Annabeth. La pauvre... Elle devait être dévastée ! Ma gorge se serra à cette pensée. 

- Bon, aujourd'hui, il nous faut vraiment un plan, chuchota Clarisse en s'étirant. 

Je hochais la tête. Elle avait raison. Il fallait trouver un moyen de sortir de là ! C'était pour l'instant un priorité... Nous réfléchissions intésemment lorsque des pas dans les escaliers nous firent sursauter. Annabeth apparut dans l'encadrement de la porte. Je sentis Tanaïs se rédire à mes côtés. La fille d'Athèna resta d'abord à distance respectueuse. Je la contemplais. Elle avait les yeux rougis et bouffis d'avoir trop pleuré. Mes ces yeux brillaient d'un éclat que je n'avais jamais vu. Un éclat qui me donnait la chair de poule. 

        Elle s'avança et s'assit en face de notre cellule. Elle s'assit en tailleur et nous regarda. 

- Tu es venu nous narguer, s'écria Tanaïs, rageuse. Tu vois, cette fois c'est toi qui est en position de force ! Comme ça doit te faire plaisir... Comme tu dois être contente de nous avoir à tes pieds... 

- Tanaïs, tais-toi, grondais-je avant même de savoir ce que je faisais. 

La jeune fille me fusilla du regard mais s'exécuta. Annabeth me fixa intensement. Je la regardais en retour. Aucun de nous ne voulait céder face au regard de l'autre. Sans me quitter des yeux, Annabeth prit la parole. 

- Vous voulez sortir. Je peux vous faire sortir. 

Ce furent ses seuls mots. Je la contemplais. 

- Tu ne fais pas ça pour les bonnes raison, chuchotais-je. 

- Mais on s'en fiche de ses raisons, hurla Tanaïs. Elle pourrait bien prévoir de se suicider qu'on s'en ficherait. 

Je lançais à Tanaïs un regard d'avertissement. Il valait mieux pour elle qu'elle ne continue pas sur ce terrain là... La jeune fille d'Arès se tourna d'emblée vers Annabeth. 

- Que veux-tu en échange, demanda-t-elle brutalement. 

- Que vous réussissiez votre quête, déclara la jolie blondinette. 

Tanaïs en resta ahurie. Elle ne s'était pas du tout attendue à ça. Mais mois si... Moi, j'avais compris. Je désespérais face à cet éclat vengeur dans ses yeux. Annabeth... 

- Alors, cervelle d'algues, quel est ton verdict ? 

- J'accepte. 

C'était notre seule chance. Annabeth était notre seule chance. 

       Au moment où les partisants de Cronos partirent se sustenter, Annabeth revint avec des sacs contenant tout ce qu'il nous fallait. Elle nous ouvrit et nous retira nos chaînes. Le tout, sans un mot. Elle me donna la carte tant attendue et nous la suivîmes sur le pont. Il fallut se débarrasser de quelques gardes mais Annabeth avait tout prévu. Elle les fit s'endormir avec un mouchoir imbibé de chloroforme. Elle nous laissa sortir le canneau de sauvetage. C'était simple... Peut-être trop simple ? Soudain, un cri résonna. 

- Ils sont là ! Ils s'enfuient ! 

Il fallait mettre le canneaux à l'eau. Alors que nous nous y attelions, une vague de combattants de Cronos déferlaient vers nous. Je décupuchonnais Turbulance. Annabeth se plaça à mes côtés. Nous livrâmes une bataille acharnée. Clarisse, Tanaïs et Grover se jettèrent dans le canot afin de le faire s'éloingner du Princesse Andromède

- Percy, hurla Tanaïs lorsque le canot fut assez loin. 

Annabeth et moi étions submergés. Et Luke était le plus fort de ces combattants. 

- Va-t-en, hurla Annabeth alors qu'elle tentait de barrer la route à Luke. 

- Pas sans toi, criais-je en l'attrapant par la taille. 

Je la tirais vers le bord du bateau. 

- Qu'est-ce que..., commença-t-elle. 

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que nos corps entraient en contact avec l'eau de la mer. Je resserrais mon emprise sur les hanches de la jeune fille. Cette dernière s'accrocha à moi. Ses cheveux dansaient autour de son visage. Je la contemplais tranquillement. Qu'elle était belle... Les yeux fermés, elle s'accrochait à moi. Je créais une bulle d'air autour de nous. Puis, ne pouvant resister davantage, je déposais un baiser sur ses cheveux mouillées. Elle ouvrit craintivement les yeux et me regarda. Je lui souris. Elle rougit. C'était adorable. Je la maintins contre mon torse d'un bras et me servis des courants marins pour rejoindre le caneaux qui se trouvait plusieurs mètres au dessus de nos têtes. Nous remontâmes à la surface et nos visages émergèrent. 

- Percy, cria Tanaïs en me tendant la main. 

J'aidais Annabeth à nager vers elle. 

- Prend la main de Tanaïs, lui conseillais-je. 

Annabeth tenta alors de suivre mon conseil mais Tanaïs retira sa main. La fille d'Athèna ne dit rien mais je la sentis se tendre près de moi. Je déposais ma main dans le creux de ses reins. J'aimais le contact de sa peau avec la mienne. Grover tendit la main à Annabeth et l'aida à monter à bord du petit bateau. Je grimpais à sa suite. Je m'assis sur un banc et Annabeth voulut se placer à mes côtés mais Tanaïs se plaça à mes côtés. Elle souhaita ensuite s'asseoir là où il y avait une place mais Clarisse y plaça un sac. Annabeth fit un tour sur elle-même. Toute cette hostilité me mettait hors de moi. Je me levais et tirais Annabeth vers moi. Elle se retrouva plaquée contre mon torse. Je passais un main dans son dos, puis l'autre sous ses genoux et la soulevait. Elle poussa un petit cri de surprise. Ensuite, je m'assis à ma place, gardant la jeune blonde sur mes genoux. Au bout de quelques minutes, elle se laissa aller dans mes bras. Je souris. Un soupire de bien-être s'échappa d'entre les lèvres de la blondinette. Je profitais du contact entre nos deux corps et fermais les yeux. 

 

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Commentaires
I
Heyy je m'absente un moment et bim ! plein de chapitres ?! Non sinon super franchement, j'adore l'évolution de cette fiction et l'évolution des personnage, le Luke méchant, le Percy toujours aussi loyal et entêté ^^ Et le truc qui m'a le plus plu c’est le fait qu'Annabeth soit du côté de Chronos. Bien aimé la petite histoire avec Tanaïs j'espère que ça va se recoller ^^ Continue comme ça c'est cool :-)
G
ouaouh !c'est génial ! il est pourri jusqu'à la moelle ce Luke !! vivement la suite :)
A
C'est trop bien j'attends la suite avec impatience <br /> <br /> Pauvre annabeth heureusement que Percy est là :)
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